Un professeur et un étudiant de l’UTC de Compiègne présentent la formation d’ingénieur proposée par le département Génie des procédés et la diversité des applications qui touchent aux grands défis actuels.
Voir aussi la présentation de la formation sur le site de l'UTC (Université de Technologie de Compiègne).
Source : YouTube
Le lycée de l’Oisans, à Vizille, et ses élèves présentent la formation BTS CIRA (contrôle industriel et régulation automatique) en alternance. Ils insistent sur l’omniprésence des systèmes automatisés pour le pilotage des appareils et des procédés industriels.
Ils témoignent de leur évolution en licence pro ou de leur intégration dans une entreprise, facilitée par la formation en alternance.
Source : Etudinfo.com
La couleur est une sensation physiologique qui transforme la lumière reçue par l'oeil en un influx nerveux transmis au cerveau. La lumière blanche est en fait un ensemble d’ondes électromagnétiques dont la superposition apparaît comme blanche. Quand elle pénètre dans la matière, la lumière se transforme en couleur. La composition de la lumière blanche est alors modifiée par absorption de certaines composantes, ou modification du chemin optique suivi par la lumière dans un matériau.
Cette vidéo balaye les notions de lumières et de couleurs en alliant expériences et explications théoriques. La couleur est définie selon le phénomène physique (diffusion Rayleigh, opalescence, iridescence) ou chimique. En partant des pigments minéraux en passant par les composés organiques colorés, on arrive aux matériaux semi-conducteurs et aux nanopigments pour finir par les phénomènes de luminescence.
Objectif : Montrer que l’histoire de la couleur est liée aux progrès de l’humanité, de l’homme préhistorique jusqu’aux écrans couleurs…et qu’elle concerne l’artiste comme le scientifique ou le technicien.
Plus d'information sur la conférence sur le site de l'ESPCI Paris
Source : Vidéos des conférences expérimentales de l’espace Pierre-Gilles de Gennes – Canal U-TV - ESPGG - ESPCI - Conférence du 16 mai 2011
Cette vidéo vous permet de mieux connaitre la section STL - SPCL Physique Chimie de Laboratoire et de découvrir comment apprendre autrement pour réussir ses études scientifiques. Des professeurs expliquent le contenu et les méthodes de cette filière, dont la forte valeur ajoutée des travaux pratiques, et des lycéens témoignent de leur vécu au lycée Galilée de Gennevilliers.
Source : Youtube
Kevin est étudiant en Licence Pro en alternance à l’IUT d’Orsay, avec un contrat d’apprentissage. Cette licence Pro concerne la protection de l’environnement et plus particulièrement le traitement de l’eau. Il est intégré au service Qualité Hygiène Sécurité Environnement de l’entreprise dans laquelle il effectue son alternance. Il témoigne ici de ses choix de parcours et de son travail et de sa poursuite d’étude en apprentissage.
Lors de la séance du 28 juin 1897, à l’Académie des Sciences, le président Gaspard Adolphe Chatin (1813-1901) annonce le décès de Paul Schützenberger (1829-1897) et rappelle ses travaux. Il a travaillé à Mulhouse sur les matières colorantes puis il est venu à Paris. Il a enseigné au Collège de France où il a succédé à Antoine-Jérôme Balard (1802-1876). Il était aussi membre de l’Académie de médecine où il a remplacé Jean-Baptiste Dumas (1800-1884).
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Source : Mémoires et communications, C. R. Acad. Sci., 124 (1897) pp. 1487-1488, disponible sur le site gallica.bnf.fr
Octave Boudouard (1872-1923) poursuit les travaux commencés avec Paul Schützenberger (1829-1897) sur le cérium. Il décrit les nombreuses manipulations effectuées afin de déterminer la masse molaire atomique du cérium. Il utilise l’acétate de cérium (éthanoate de cérium) et le sulfate de cérium (III). Les résultats obtenus sont situés dans une fourchette allant de 135,1 à 139,9 g. De nos jours, la masse molaire atomique est de 140,1g.
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Source : Sur le cérium, C. R. Acad. Sci., 125 (1897) pp. 772-774, disponible sur le site gallica.bnf.fr
C’est Henri Moissan (1852-1907) qui présente le travail de Georges Charpy (1865-1945). Ce dernier a réalisé de très nombreuses expériences sur les alliages de cuivre et de zinc. Il a modifié la composition de l’alliage et, pour une même composition, ce sont les traitements thermiques qui ont été différents. Puis il a mesuré l’allongement ainsi que la résistance à la rupture par traction.
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Source : Sur les propriétés mécaniques des alliages de cuivre et de zinc, C. R. Acad. Sci., 121 (1895) pp. 494-496, disponible sur le site gallica.bnf.fr
R. Moog reprend la méthode de Jean-Jacques Schloesing (1824-1919) pour doser l’ammoniac en la modifiant car le dégagement d’ammoniac est très lent et il faut trois jours pour obtenir un résultat complet. Il opère dans le vide et obtient un résultat pour le dosage de l’ammoniac en douze heures. Il décrit l’expérience réalisée ainsi que les précautions opératoires à prendre. Enfin, il donne les résultats obtenus et conclut en validant ses hypothèses.
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Source : Le dosage de l’ammoniac par la méthode de Schloesing, C. R. Soc. Biologie et de ses filiales, A74, vol.86, T1(1922) pp. 709-711, disponible sur le site gallica.bnf.fr
Jean-Baptiste Firmin Dehaussy de Robécourt (1784-1863) décrit les caractères du gaz ammoniac puis les effets sur les êtres vivants. Les différentes manifestations de ce gaz sont indiquées et il est précisé qu’il peut tuer s’il est respiré trop longtemps. Par contre, il sert d’antidote dans le cas d’empoisonnement par l’acide cyanhydrique. L’acide acétique (acide éthanoïque) et le chlore peuvent être utilisés comme antidote du gaz ammoniac mais il est préférable de prendre de l’acide acétique sous la forme de vinaigre par exemple.
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Source : Empoisonnement par les gaz, Médecine légale théorique et pratique, Paris, Baillière (1852) pp.63-64, disponible sur le site gallica.bnf.fr