Pourquoi mesurer la radioactivité ? Dans la nature, la plupart des noyaux d’atomes sont stables, c’est-à-dire qu’ils restent indéfiniment identiques à eux-mêmes. Les autres sont instables car ils possèdent trop de protons ou de neutrons ou trop des deux. Pour revenir vers un état stable, ils sont obligés de se transformer. Ils expulsent alors de l’énergie – provenant de la modification du noyau – sous forme de rayonnements : c’est le phénomène de la radioactivité.
Les recherches sur la radioactivité ont contribué à la connaissance de la matière, permis de reconstituer l’histoire de l’Univers et de la Terre et procuré des marqueurs, outils et instruments irremplaçables en biologie, médecine et géologie.
Les propriétés de la radioactivité et les nombreuses applications qui en ont découlé sont de plus en plus présentes dans notre vie quotidienne : la production d’électricité, les diagnostics médicaux, l’astronomie…
Les éléments radioactifs sont également d’excellents chronomètres : la décroissance radioactive et la mesure de l’activité fournissent ainsi des « horloges » destinées à dater des événements plus ou moins anciens. C’est ce dernier point que nous allons étudier dans ce dossier.
Terminale - Spécialité PC
Objectifs : Expliquer le principe de la datation à l’aide de noyaux radioactifs et dater un événement.
Constitution et transformations de la matière
Thème 3 • Prévoir l’état final d’un système, siège d’une transformation chimique.
Partie B • Modéliser l’évolution temporelle d’un système, siège d’une transformation nucléaire.
Notions et contenus : Évolution temporelle d’une population de noyaux radioactifs ; constante radioactive loi de décroissance radioactive ; temps de demi-vie ; activité.
Radioactivité naturelle ; applications à la datation.
Source : Dossier pédagogique réalisé par les Éditions Nathan en partenariat avec La Fondation de la Maison de la Chimie et Mediachimie
Des batteries écologiques et recyclables pour concurrencer le marché chinois : c’est possible grâce à une start-up française. Comment sont-elles conçues ?
Source : Clins d'oeil de la Fondation Internationale de la Maison de la Chimie
Présentation de l’unique autobus à hydrogène fabriqué en France, commercialisé et en service depuis 2019. Ce bus Zéro émission a une autonomie de 350 km, fonctionne avec un moteur électrique de 250 kW alimenté par une pile à hydrogène de 30 kW qui utilise une réserve de 30 kg d'hydrogène.
Source : Clins d'oeil de la Fondation Internationale de la Maison de la Chimie
Un pigment est un matériau insoluble dans le milieu dans lequel il est dispersé alors qu’un colorant y est soluble [1] [2].
Les matières colorantes absorbent la lumière dans un domaine de longueur d’onde compris entre 400 et 750 nm. Les origines de la couleur sont liées aux structures chimiques de ces substances [1a]. Pour les composés organiques il s’agit d’une absorption d’un niveau électronique moléculaire à un autre. Pour les composés minéraux ce sont souvent des cations de métaux de transition d’un solide qui sont responsables de l’absorption mais il faut tenir compte de leur environnement anionique (transitions entre les niveaux électroniques des complexes cation/anion ainsi formés). C’est ainsi que l’ion cobalt (II) passe du bleu de cobalt [Co3(PO4)2] au violet clair [Co3(AsO4)2] ; le violet de cobalt est le seul pigment violet de la palette du peintre ! [1a].
Dans les peintures de la grotte de Chauvet découvertes au début des années 2000 et qui datent de 33000 ans environ, s’il est aisé de comprendre que le noir provient du charbon issu de la calcination des os, d’ivoire ou du bois, il n’est pas évident d’expliquer la présence des nuances d’ocre ! Il a été démontré par analyse de diffraction des rayons X au Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF) que les pigments ocre sont tous des oxydes de fer : l’hématite (Fe2O3) de couleur rouge et la goethite (FeOOH) de couleur jaune. Dans les deux cas c’est le cation Fe3+ qui se trouve au centre d’un octaèdre dont les six sommets sont respectivement six ions oxyde, et trois ions oxyde et trois ions hydroxyde, les absorptions n’ayant pas lieu aux mêmes longueurs d’onde. La cuisson de la goethite permet sa transformation en hématite et c’est vers 300 - 400°C que l’on obtient les ocres orangés [3] [8].
Le bleu égyptien n’est pas un pigment naturel mais obtenu par chauffage aux environs de 1000°C d’un mélange de calcaire, de silice et de composés cuivreux pour conduire à une masse compacte hétérogène de cuprorivaïte (CaO, CuO, 4 SiO2) et de quartz et tridymite (variétés de silice SiO2) : la nuance de bleu varie avec la température de 900 à 1100 °C et le broyage conduit alors à une couleur bleu clair pour des grains de 20 µm [1].
La couleur bleue (bleu outremer) du lapis-lazuli n’est pas due à l’élément cuivre mais au soufre ! En effet des mesures par RPE (1970) ont mis en évidence l’anion radical trisulfure (S3-), dans une cage d’aluminosilicate type zéolithe, qui absorbe vers 600 nm (dans le domaine du rouge) ce qui explique sa couleur bleue (couleurs complémentaires) [1].
Le bleu de Prusse est un pigment minéral de formule Fe4 [Fe(CN)6, 15 H2O]3 qui cristallise dans le système cubique faces centrées. Depuis la découverte à Berlin par Diesbach en 1706 [5a] il était préparé par distillation du sang en présence de sulfate de fer en milieu alcalin (carbonate de potassium). Actuellement il est préparé à partir de deux solutions aqueuses d’hexacyanoferrate (II) de potassium et de nitrate de fer (III). Il est possible de changer la couleur simplement en modifiant les degrés d’oxydation de l’un des cations. Par exemple sous l’action d’une électrolyse la réduction suivante peut se produire :
K4FeIII [FeII(CN)6]4 + 4 K+ + 4 e- → K8 FeII [FeII(CN)6 ]4
La couleur est variable en fonction du potentiel appliqué à la cathode : -0,2 V (incolore), - 0,6 V (cyan) 1,0 V (vert), 1,5 V (jaune) ! Cela pourrait permettre de créer des vitres pouvant changer de couleur sous l’action d’un courant électrique. Des brevets ont été déposés mais sans développement à ce jour [5b].
Le bleu de Prusse intervient dans la composition de cathodes en particulier sous la forme NaxMaNbFe(CN)6 des batteries sodium–ion (Na–ion), où M et N sont des éléments de transition avec x voisin de 1,9 et a et b ≤ 1. La batterie au sodium est moins onéreuse que celle au lithium et offre une solution durable au stockage de l’énergie avec des dizaines de milliers de cycles de décharge/charge, chaque cycle durant quelques minutes ; elle est développée actuellement par la Société Natron Energy en Californie [6].
La mauvéine est un pigment découvert par hasard par Perkin en 1856 à Londres, alors qu’il cherchait une synthèse de la quinine… qui permettait de traiter la malaria ! L’analyse en 2007, a montré qu’il s’agissait ici d’un mélange de quatre molécules organiques de couleur mauve appelées mauvéines A, B1, B2 et C. Ainsi la Reine Victoria en Angleterre et l’Impératrice Eugénie ont porté de somptueuses robes de soie colorées avec de la mauvéine ! [7] [8]
La poudre de pigment n’est pas applicable directement sur un support : pour assurer l’adhésion, les particules doivent être dispersées dans une substance appelée liant.
Dans la peinture à l’eau le liant a été d’abord de l’eau à laquelle on ajoutait de la gomme arabique (molécules de sucres associées solubles dans l’eau) pour obtenir des aquarelles ou des gouaches selon la quantité de gomme ajoutée. Puis, à partir du XVe siècle, on a ajouté à l’eau du jaune d’œuf. Ce dernier renferme 30% de lécithine qui est un phospholipide, molécule contenant des chaînes hydrocarbonées apolaires lipophiles avec des extrémités chargées hydrophiles ; on obtient une émulsion dans laquelle les particules de pigments (composé ioniques) sont alors dispersées sans pouvoir s’associer en agglomérats qui seraient inutilisables pour la peinture. On peut remplacer le jaune d’œuf par de la glycérine [1a].
Dans la peinture à l’huile, le liant est surtout l’huile de lin. Son usage a été introduit par les frères Van Eyck au XVe siècle. L’huile de lin est un mélange de triglycérides, triesters du glycérol et de trois acides gras insaturés (dans ce cas les acides linolénique, linoléique et oléique). La pâte contenant les pigments dispersés dans l’huile est conservée dans des tubes. Étalée sur la toile, la peinture « sèche » : en fait elle donne une réaction de polymérisation en présence de l’oxygène de l’air grâce aux doubles liaisons C=C insaturés pour donner un réseau 3D par réticulation et donc un film résistant et souple [1a].
Mais un grand changement s’est opéré avec les peintures acryliques dans les années 1950. Cette découverte est due à des chimistes de Mexico : le liant est une émulsion d’eau et de résines acryliques (solubles en milieu aqueux en raison des parties protiques ou polaires) issues de la polymérisation de dérivés acryliques monomères de type CH2=CH-CO2H ou CH2=CH-CO2R qui conduisent à des films de très grande élasticité avec un temps de séchage bien plus court. Elles sont moins sensibles au vieillissement [1a].
Le vieillissement de la peinture des tableaux peut correspondre à des phénomènes d’oxydation. Par exemple la couleur jaune utilisée par Van Gogh était du sulfure de cadmium qui s’oxyde à l’air pour donner des taches blanchâtres de sulfate de cadmium selon l’équation : Cd S (jaune) + O2 → Cd SO4 (blanc) [1b].
Ce pigment toxique (car il contient du cadmium) n’est plus autorisé depuis les directives européennes de 1996 ; cela explique l’apparition récente de pigments à base de sulfure de cérium et de de sodium [8].
Mais le vieillissement peut aussi provenir des réactions d’oxydation photochimique : ainsi la laque géranium (par analogie avec la couleur de la fleur !) utilisée par Van Gogh « passe avec la lumière » et se décolore progressivement. Une analyse par microscopie électronique à balayage a montré la présence d’atomes de brome caractéristiques de la molécule d’éosine [9]. L’éosine absorbe dans le vert à 529 nm. On montre de plus par voltamétrie cyclique que le potentiel redox de l’éosine à l’état fondamental est de 0,78 V mais qu’il s’abaisse à – 1,11 V lorsque l’éosine est à l’état excité, ce qui rend donc l’éosine plus sensible à l’oxydation par l’oxygène [10].
La connaissance des pigments utilisés par un peintre à une certaine période de sa vie permet de dater et donc d’authentifier un tableau. Le développement de l’instrumentation - du pinascope (premier petit microscope utilisé pour l’examen scientifique des peintures) du Dr Pérez des années 30 aux méthodes actuelles de microscopie électronique à balayage couplées avec la diffraction et la fluorescence X - a révélé des fraudes et des scandales retentissants [9].
Ainsi Van Meegeren un peintre restaurateur hollandais avait vendu à Hermann Goering un tableau de Vermeer (peintre hollandais du XVIIe siècle) représentant Marie-Madeleine lavant les pieds du Christ et authentifié par des experts de l’époque… Il fut arrêté à la fin de la guerre et pour « se disculper », il a avoué la falsification en repeignant le tableau devant les enquêteurs. Pour améliorer sa technique (pour rendre ses faux encore plus vrais !) il remplaçait l’huile par des résines acryliques… mais s’il veillait à n’acheter que des pigments purs, un marchand de couleurs avait ajouté, en oubliant de le lui signaler, quelques pigments supplémentaires et en particulier du bleu de cobalt synthétisé par Thénard bien après la mort de Vermeer… en 1799 ! [11]
Image d'illustration
Pour approfondir et illustrer ce sujet :
[1a] La chimie crée sa couleur… sur la palette du peintre de B. Valeur, article et conférence-vidéo du colloque La Chimie et l’Art (2009) sur Mediachimie.org
[1b] Matériaux du patrimoine et altération. Analyses par rayonnement synchrotron de K. Janssens, article et conférence-vidéo du colloque La Chimie et l’Art (2009) sur Mediachimie.org
[2] Les pigments et les colorants : on en parle ? de M. Jaber et Ph. Walter, L’Actualité Chimique n°444-445 (octobre-novembre 2019) p. 13
[3] Identifier les pigments et comprendre leurs propriétés à partir de la diffraction des rayons X de Ph. Walter et coll., L’Actualité Chimique n°387-388-389 (juillet-août-septembre 2014) p. 170
[4] Les couleurs à l’époque de Toutânkhamon de B. Valeur, L’Actualité Chimique n°444-445 (octobre-novembre 2019) p. 10
[5a] La première couleur artificielle : le bleu de Prusse de Catherine Marchal anecdocte et vidéo sur Mediachimie.org
[5b] Toutes les couleurs du bleu de Prusse de G. Fornaseri et coll., L’Actualité Chimique n°444-445 (octobre-novembre 2019) p. 21
[6] L’actualité du solaire juillet 2020
[7] Des matériaux, patrimoines de l’humanité ? Préserver et transmettre une part de l’histoire de la chimie de Ph. Walter, article et conférence du colloque Chimie et Alexandrie (2019) sur site mediachimie.org
[8] Comment la synthèse ratée d’un médicament conduit à un colorant industriel : la mauvéine de B. Bodo et G. Emptoz, anecdote et vidéo sur Mediachimie.org
[9] Histoire secrète des chefs d’œuvre (C2RMF) de D. Dubrana, Editions SPE BARTHELEMY (2001), un beau livre !
[10] Les colorants et la lumière pour transformer la matière N. Hoffmann et coll., L’Actualité Chimique n°444-445 (octobre-novembre 2019) p.38-43
[11] L’Art-Chimie de Ph. Walter et F. Cardinali, Éditions Michel de Maule / Fondation de la Maison de la Chimie (2013), un autre beau livre !
Nous utilisons dans notre vie moderne plus de 110 000 molécules ou produits différents dont il reste obligatoirement des traces plus ou moins importantes dans l’air, le sol, les aliments et finalement l’eau qui joue un peu le rôle de réceptacle final de toute cette pollution environnementale.
Terminale - Spécialité PC
Objectifs : Savoir réaliser un titrage.
Comprendre les enjeux de la chimie analytique.
Constitution et transformations de la matière
Thème 1 : Déterminer la composition d’un système par des méthodes physiques et chimiques.
Partie B : Analyser un système chimique par des méthodes physiques.
Notions et contenus : Titre massique et densité d’une solution.
Source : Dossier pédagogique réalisé par les Éditions Nathan en partenariat avec La Fondation de la Maison de la Chimie et Mediachimie
ITER, International Thermonuclear Experimental Reactor, est un projet international qui a pour but de maîtriser une réaction nucléaire hors du commun : celle des étoiles. Actuellement, les centrales nucléaires, elles aussi, exploitent une réaction nucléaire : la fission.
Quels avantages apportera le projet ITER par rapport à la fission déjà à l’oeuvre en France dans la production d’électricité ?
Terminale - Spécialité PC
Objectifs : Déterminer, à partir d’un diagramme (N,Z), les isotopes radioactifs d’un élément.
Utiliser des données et les lois de conservation pour écrire l’équation d’une réaction nucléaire et identifier le type de radioactivité.
Constitution et transformation de la matière
Thème 3 : Modéliser l’évolution temporelle d’un système, siège d’une transformation.
Partie B : Modéliser l’évolution temporelle d’un système, siège d’une transformation nucléaire.
Notions et contenus : Stabilité et instabilité des noyaux : diagramme (N,Z), radioactivité α et β, équation d’une réaction nucléaire, lois de conservation.
Source : Dossier pédagogique réalisé par les Éditions Nathan en partenariat avec La Fondation de la Maison de la Chimie et Mediachimie
La préoccupation de limiter les conséquences des évènements accidentels ou criminels conduit les autorités à mettre en place des unités capables d’intervenir rapidement en ayant recours à des analyses sur le terrain nécessitant la mise en oeuvre de moyens technologiques innovants et performants. En dehors d’évènements accidentels, en cas de détournement deproduits ou de processus, des actions humaines délibérées peuvent être à l’origine d’évènements très meurtriers car destinés à l’être, et aux conséquences matérielles importantes.
Il est donc nécessaire de mettre en place des moyens efficaces de neutralisation et de décontamination des lieux pour permettre un retour à la normale et participer à la sécurité et à l’efficacité des intervenants sur le terrain (services de secours et police) par le conseil du port de tenues de protection adaptées au risque identifié. Il s’agit dans la phase de détection d’évaluer les risques radiologique, biologique et chimique par la mise en oeuvre de capteurs qui répondent de manière plus ou moins spécifique en présence des substances présentes.
L’analyse et l’identification des espèces chimiques est, par conséquent, un maillon essentiel sur lequel nous allons nous attarder dans ce dossier.
Terminale - Spécialité PC
Objectifs : Compléter les méthodes d’analyse chimique abordées en 1re.
Identifier un groupe caractéristique grâce à des méthodes d’analyse chimique : la spectroscopie UV-visible et l’I.R.
Constitution et transformation de la matière
Thème 1 : Déterminer la composition d’un système par des méthodes physiques et chimiques.
Partie B : Analyser un système chimique par des méthodes physiques.
Notions et contenus : Spectroscopie infrarouge et UV-visible.
Identification de groupes caractéristiques et d’espèces chimiques.
Source : Dossier pédagogique réalisé par les Éditions Nathan en partenariat avec La Fondation de la Maison de la Chimie et Mediachimie
Un cycle de vidéos pour les lycéens et les citoyens
Au 21e siècle, face aux besoins planétaires en termes d’alimentation et aux risques qui pèsent sur notre environnement, il est urgent de développer une agriculture raisonnée qui limite la pollution des sols, des eaux et de l’air, qui préserve la biodiversité et qui consomme moins d’énergie. Ces enjeux impliquent une information du citoyen, et notamment des jeunes, sur les apports récents de la recherche et de l’innovation dans ce domaine.
Chimistes, agronomes, biologistes… cette série de vidéos donne la parole à des scientifiques de disciplines et de points de vue différents pour évaluer rationnellement l’agriculture de demain tout en tenant à distance les croyances et les partis pris idéologiques et financiers. Chaque vidéo constitue une ressource utile pour le milieu éducatif (enseignants et élèves) mais aussi pour le grand public.
Présentation de la série par Nadine Vivier, Présidente de l’Académie d’Agriculture
Nadine Vivier
Une introduction faisant appel aux grandes figures du passé - Pasteur, Boussingault - pour raconter les relations entre la chimie et l’agriculture.
Quelle agriculture voulons-nous ?
André Fougeroux
L’intégration de l’innovation technologique dans le monde agricole va de pair avec l’évolution des mœurs et des mentalités.
L’agriculture face à ses défis techniques, l’apport des technologies
Bernard Le Buanec
Un panorama des techniques associant chimie et agriculture.
Bio-contrôle, chimie et protection des plantes, opposition et complémentarité
Jean-Louis Bernard
Présentation des quatre catégories de bio-contrôle dans la protection intégrée des cultures : macroorganismes, micro-organismes, médiateurs chimiques, substances naturelles. Les atouts et les limites.
La bio-stimulation en agriculture
Marie-Emmanuelle Saint-Marcary
Comment stimuler l’interface sol plante pour concilier productivité et environnement : les principes et les produits qui en découlent.
Les phéromones, alternative à l’utilisation des insecticides
Olivier Guerret
Comment réconcilier la chimie et l’environnement. Une nouvelle logique dans l’utilisation des insecticides ciblant uniquement le mécanisme de reproduction de l’insecte : l’exemple de la vigne et du ver de la grappe.
Agriculture et innovation des enjeux pour demain
Rémy Courbon
Exemples d’innovations pour produire mieux et plus en réduisant l’impact de l’agriculture sur l’environnement
Digifermes, l’agriculture numérique au service des grandes cultures
Delphine Bouttet
La ferme digitale. Du satellite au Big-data, l’innovation technologique dans les champs.
La révolution de la modification ciblée du génome
Jean-Yves Le Déaut
Des OGM à CRISPR-Cas9 et au Prix Nobel, la mise en œuvre.
Chimie et révolutions agricoles sous l'angle de la protection des cultures
Catherine Regnault-Roger
La part de la chimie dans les révolutions agricoles.
Mieux capturer le principal gaz à effet de serre
François Képès
Lla fixation autotrophique du CO₂ et son optimisation par biologie de synthèse.
Des OGM à CRISPR-Cas9 et au Prix Nobel, la mise en œuvre.
Source : Une vidéo de la série Chimie et agriculture durable pour tous
La ferme digitale. Du satellite au Big-data, l’innovation technologique dans les champs.
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