Un rappel sur les peintures est introduit dès le début, puis le cas particulier des peintures aérosols est présenté. La présentation et l’analyse sont étudiées pour la création d’une banque de données de peintures aérosols. L’identification d’une peinture aérosol sur des échantillons réels termine l’article.
Source : L'actualité chimique n° 378-379 (octobre-novembre 2013) pp. 47-51
Les principales méthodes et les appareillages sont présentés.
Des exemples de résultats à partir de situations réelles sont indiqués : la trace d’un stylo à bille, une eau devenue bleue, des colorations sur des champs de maïs OGM et une preuve par … la betterave !
Source : L'Actualité chimique n° 378-379 (octobre-novembre 2013) 41-46
Les auteurs exposent ici l’expertise dans les fibres textiles autour d’un scénario fictif.
Après un rappel sur les origines et l’intérêt des fibres textiles en criminalistique, l’importance des prélèvements et des diversités de formes, de couleur et de composition sont soulignées.
La séquence analytique est présentée par la microscopie optique, la micro-spectrophotométrie, la spectroscopie Raman et IR à transformée de Fourier.
Source : L'Actualité chimique n° 378-379 (octobre-novembre 2013) pp. 35-40
Cet article est un dossier précis et complet sur le traitement du diabète 2. La glycémie est introduite en rappel.
La synthèse de la sitagliptine médicinale est présentée dans un schéma détaillé, puis celle de la synthèse commerciale. Les rendements y sont optimisés sur différents exemples.
Source : L'actualité chimique n° 375-376 (juin-juil.-août 2013) pp. 74-82
Des applications industrielles nombreuses sont présentées ici : traitement des sols, fertilisation des sols, purification de l’air, épuration des eaux, production d’énergie, préparations de réactifs.
Ainsi une souche de pénicillium permet d’obtenir de l’acide citrique à partir du saccharose contenu dans des mélasses pour une production mondiale estimée à près de 2Mt par an ! In tableau synthétique présente les avantages des procédés biotechnologiques : investissement assez faibles en raison des températures requises 20-40°C assez basses, simplicité des équipements, faible consommation d’énergie. Les inconvénients sont liés au manque de flexibilité et aux coûts liés au tri par exemple des déchets des ordures ménagères.
Source : L'Actualité chimique n° 375-376 (juin-juil.-août 2013) pp. 65-67
Une bioraffinerie est une usine qui transforme la biomasse d’origines agricole et forestière en une grande diversité de produits appelés biosourcés. Les efforts et soutiens sont très développés aux USA et à un degré nettement moindre en France. Aux États-Unis et en France, depuis 2007 dans le cadre de l’Union européenne de nombreux programmes sont lancés.
L’article précise les défis technologiques : utilisation de nouveaux biocatalyseurs, utilisations de procédés utilisant la totalité des composants d’une plante sans qu’il n’y ait aucun déchet ! Ces procédés concernent aussi bien des grandes sociétés que des entreprises familiales ou des groupes coopératifs. L’efficacité d’une bioraffinerie nécessite une taille minimale pour être compétitive par rapport à la pétrolochimie.
L’article se poursuit par un second article de J.M. Chauvet et coll. (pages 49-55) par l’exemple de la bioraffinerie de Bazancourt-Pomacle près de Reims qui met en évidence l’engagement des agriculteurs avec leurs coopératives dans une plate-forme d’innovation avec de multiples laboratoires de recherche et la réalisation de procédés industriels efficaces et compétitifs. C’est le début d’une « nouvelle bioéconomie » !
Source : Article 1 : L'Actualité chimique n° 375-376 (juin-juil.-août 2013) pp. 46-48 ; article 2 : L'Actualité chimique n° 375-376 (juin-juil.-août 2013) pp. 49-55
L’exemple de la détermination expérimentale du degré d’acidité d’un vinaigre sert de support au problème. Le protocole est indiqué. Les résultats sont exploités avec un tableur. Toute la démarche de l’estimation de l’incertitude est indiquée, ce qui permet de négliger certains facteurs expérimentaux.
Source : Estimation de l’incertitude de la mesure : détermination expérimentale du degré d’acidité d’un vinaigre, L'Actualité chimique n° 374 (mai 2013) pp. 36-39
Le principe repose comme pour les piles à combustible par de la catalyse redox avec des enzymes ou des microorganismes. Une classe d’enzymes a été étudiée : les oxydoréductases, un exemple de pile glucose oxygène est décrit, dans des conditions physiologiques de température et de pH.
Un tableau d’enzymes oxydoréductases est présenté sur des substrats variés avec des co-enzymes tel que le NAD+. Le problème de l’immobilisation des enzymes a été étudié par adsorption, liaison covalente, réticulation ou encore par encapsulation. Les puissances fournies sont faibles (100 mW/cm2) et la miniaturisation a permis ainsi aux biopiles d’être utilisées pour des petits appareils électroniques et implantées in vivo à l’avenir.
Source : L'Actualité Chimique, n° 373 (avril 2013) pp. 18-26
Découverte et introduction de la notion de pH. Film de la série Lumia et les catalyseurs
Découverte et présentation du phénomène de cristallisation. Film de la série Lumia et les catalyseurs