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Mots-clés : Grignard, faculté des sciences de Lyon, prix Nobel, Sabatier, organomagnésiens

Victor Grignard (1871-1935) accepte un poste de préparateur auxiliaire à la faculté des sciences de Lyon. Il travaille dans le laboratoire de Philippe Barbier (1848-1922) qui lui propose comme sujet de recherches de substituer au zinc le magnésium dans les organo-zinciques. Grignard étudie l’ordre d’introduction des réactifs car la réaction est très vive. Il fait réagir dans l’éther, l’iodure d’alkyle avec le magnésium. Une note parait dans les Comptes-rendus de l’Académie des sciences en 1900 et en 1901, il obtient un doctorat ès sciences. En 1912, ses travaux sont récompensés par le prix Nobel de chimie qu’il partage avec Paul Sabatier (1854-1941). Après la guerre, après avoir refusé un poste à Paris, il revient à Lyon et en 1929, il devient doyen de la faculté des sciences.

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Auteur(s) : Jean-Albert Gautier (1903-1987)
Source : Victor Grignard et ses magnésiens : un triomphe assorti de péripéties, Revue d’histoire de la pharmacie, 59e année, n° 211 (1971) pp. 521-530
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Mots-clés : Lémery, Lavoisier, Liebig, Wurtz, réactifs, produits, théorie atomique, Collège de France

Cet article présente quatre ouvrages. Un seul, celui sur Nicolas Lemery (1645-1715) est en français, les autres sont en anglais. Lemery développe une chimie pratique et il émet aussi des hypothèses pour expliquer la réaction. Son ouvrage Cours de Chymie publié en 1675 aura dix autres éditions, il sera traduit en anglais, en allemand… Il dote les particules de pointes et de pores qui interagissent entre elles. Il s’intéresse aussi à la perte ou à l’augmentation de la matière. Ce sont les cahiers de laboratoire d’Antoine Laurent Lavoisier (1743-1794) que l’auteur de l’ouvrage décortique. Les expériences sont décrites. Les réactifs et les produits sont pesés, mais il faut séparer les produits des réactifs restants puis les produits. Justus von Liebig (1803-1873) met au point une méthode d’analyse organique. Il publie un ouvrage sur la chimie agricole et un sur la chimie animale qui seront diffusés en Angleterre. Pour Liebig, c’est la chimie qui résoudra les problèmes de nutrition et de santé. Charles Adolphe Wurtz (1817-1884) fait de grandes découvertes en chimie organique comme les amines primaires, le glycol. C’est un ardent défenseur de la théorie atomique qu’il peut exposer au Collège de France.

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Antoine Laurent de Lavoisier
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Justus von Liebig - Galerie hervorragender ärzte und naturforscher
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Wurtz (Charles Adolphe). Né en 1817 - Centenaire de la Faculté de médecine de Paris (1794-1894)
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Auteur(s) : Danielle Fauque
Source : De Nicolas Lemery à Adolphe Wurtz : Sur quelques ouvrages d’histoire de la chimie, Revue d’histoire des sciences, Vol. 57, n°2 (2004) pp. 493-508
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Mots-clés : Wurtz, Boutlerov, Société chimique de Paris, bulletin de la société chimique, Académie des sciences de Saint-Petersbourg

Ces lettres jusqu’alors inédites ont été échangées par Alexandre Boutlerov (1828-1886) et Charles Adolphe Wurtz (1817-1884) de 1859 à la mort de Wurtz. Boutlerov est venu au laboratoire de Wurtz en 1857 puis il est reparti à Kazan. Il informe Wurtz de ses travaux, envoie le texte de mémoires, Wurtz l’encourage et publie les textes dans le Bulletin de la société chimique de Paris après les avoir présentés à l’Académie des sciences. Wurtz est nommé correspondant de l’Académie des sciences de Saint-Petersbourg en 1873 grâce à Boutlerov qu’il remercie. Wurtz qui a été à Vienne pour l’Exposition universelle de 1873 comme adjoint chimiste à la classe XXVI, a demandé une médaille pour Boutlerov qui l’a obtenue.

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Wurtz, Charles Adolphe (1817-1884) - Centenaire de la Faculté de Médecine de Paris (1794-1894)
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Auteur(s) : G. V. Bykov, J. Jacques (1917-2001)
Source : Deux pionniers de la Chimie moderne, Adolphe Wurtz et Alexandre M. Boutlerov, d’après une correspondance inédite, Revue d’histoire des sciences et de leurs applications, Vol. 13, n°2 (1960) pp. 115-134
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Mots-clés : Wurtz, Dumas, glycol, théorie des radicaux, théorie des types, isomérie

Dans cette lettre supposée écrite à Jean-Baptiste Dumas (1800-1884) par Charles Adolphe Wurtz (1817-1884) en 1864, ce dernier insiste principalement sur les travaux qu’il a réalisé à partir de la découverte de glycols. Il en déduit des conséquences théoriques : théorie des radicaux, théorie des types et isomérie.

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Wurtz, Charles Adolphe (1817-1884) - Centenaire de la Faculté de Médecine de Paris (1794-1894)
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Auteur(s) : Nils Hjelm-Hansen
Source : Une lettre inédite de A. Wurtz à J.-B. Dumas, Revue d’histoire des sciences, Vol. 28, n°3 (1975) pp. 259-265
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Mots-clés : Berthollet, Fourcroy, Dumas, Wurtz, pharmacien, Société libre des pharmaciens de Paris, Société de pharmacie de Paris

L’auteur propose successivement une étude sur chacun de ces chimistes. Claude Louis Berthollet (1748-1822) n’a pas été pharmacien même s’il a été associé libre de la Société libre des pharmaciens de Paris en 1796. Antoine François Fourcroy (1755-1809) est fils de pharmacien, il a été associé libre, puis membre résident de la Société libre des pharmaciens de Paris. Jean-Baptiste Dumas (1800-1884) a travaillé dans une pharmacie à Alès puis à Genève mais il n’a pas le titre de pharmacien. Il a été membre associé de la Société de pharmacie de Paris. Charles Adolphe Wurtz (1817-1884) est docteur en médecine, il a été professeur de pharmacie et de chimie à la faculté de médecine de Paris.

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Berthollet, Claude Louis (1748-1822)
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Fourcroy (Antoine François) - Centenaire de la Faculté de médecine de Paris (1794-1894)
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Dumas, Jean Baptiste (1800-1884) - Centenaire de la Faculté de Médecine de Paris (1794-1894)
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Wurtz, Charles Adolphe (1817-1884) - Centenaire de la Faculté de Médecine de Paris (1794-1894)
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Auteur(s) : Maurice Bouvet (1885-1964)
Source : À propos d’un article récent : Berthollet, Fourcroy, J.-B. Dumas et Wurtz étaient-ils pharmaciens ?, Revue d’histoire de la pharmacie, 35e année, n° 117 (1947) pp. 147-152

Mediachimie | Beau Jeu, un ballon chimique ?

Date de publication : Vendredi 10 Juin 2016
Rubrique(s) : Éditorial
Ballon de l’Euro 2016

437 grammes, 69 cm de circonférence, c’est « Beau Jeu » le ballon de l’Euro 2016. C’est le petit frère de « Brazuca », le ballon de la Coupe du monde 2014 au Brésil et de « Albert » à Londres en 2012 (1). Il est composé de six pièces de polyuréthane de type Impranil mais avec des nouveautés ;sur les cinq couches successives, l’une est faite d’une mousse avec des millions de sphères apportant une superbe élasticité (2).

Les ingénieurs et techniciens ont réussi à faire un ballon parfaitement rond en juxtaposant par thermosoudure six faces carrées à arêtes courbes en retrouvant le théorème mathématique d’Alexandrov-Pogorelov. C’est pourquoi on parle parfois du « ballon cubique » mais parfaitement sphérique. Cependant, pour avoir des trajectoires maîtrisées, la couche externe du ballon est faite de minuscules croisillons en polyuréthane sur un substrat spécial de polyester-coton (3). Un ballon de football n’adopte pas en général une trajectoire parabolique, mais triangulaire, dite « tartaglia », du nom d’un mathématicien italien Niccolò Fontana, dit Tartaglia (« Le Bègue »), car la frappe moyenne des joueurs internationaux implique une vitesse initiale du ballon de 80 à 90 km/h supérieure à la vitesse de lévitation. Pour éviter que le ballon ne « plane », les minuscules aspérités perturbent la trainée dans l’air et permettent aux joueurs adroits de faire tourner le ballon sur lui-même et d’atteindre la lucarne des buts en trompant les gardiens.

Il n’y a pas que le ballon qui mobilise la chimie (4), les chaussures des joueurs en sont un concentré. Elles doivent être légères et solides. La semelle est en fibre de carbone (5) sur laquelle les crampons sont directement moulés (6). La chaussure elle-même est en fibres de polyisocyanate ou de polyester tissées, montant parfois pour protéger la cheville (7), douce à l’intérieur, légèrement rugueuse à l’extérieur pour pouvoir imprimer au ballon l’effet de rotation voulu par le joueur. Les maillots et short eux-mêmes sont en fibres thermorégulées, certains comportent des parties élastiques qui mettent les muscles en micro-compression (8) en assurant un léger massage anti-fatigue (9). Les prochaines avancées informatiques dont sont déjà munies certaines équipes sont les exploitations de données. Le petit GPS dans le col du maillot et les microcapteurs physiologiques connectés (10) enregistrent en ligne des données (11) sur chaque joueur : déplacements, vitesse, rythme cardiaque, fatigue…

Vive l’euro 2016, chimique et électronique, mais in fine c’est le talent des joueurs qui nous régale.

Jean-Claude Bernier
Juin 2016

Quelques ressources pour en savoir plus :


(1) L’histoire d’Albert, le ballon de foot des jeux olympiques (vidéo, 8:14)
(2) Le plastique qui recycle le CO2 (vidéo, 6:11)
(3) Les matériaux composites dans le sport
(4) La chimie et le sport autour du monde
(5) Les allotropes du carbone : une grande famille
(6) Technologie et performance sportive
(7) Des textiles pour sportifs. Apport de la chimie pour améliorer confort et performances
(8) L’intelligence textile (vidéo, 7:14)
(9) Un tissu anti- courbature (vidéo, 7:18)
(10) Les polymères se réveillent pour l’électronique ! (vidéo, 31:44)
(11) Chemical World Tour 3 : nos tablettes un condensé de chimie !
 

Inauguration de la Maison du Soleil à Saint Véran

Date de publication : Jeudi 09 Juin 2016
Rubrique(s) : Événements
Maison du Soleil - Saint Véran

L’inauguration de la Maison du Soleil aura lieu à Saint Véran le jeudi 9 juin par Monsieur Thierry Mandon, Secrétaire d'État en charge de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.

La Fondation internationale de la Maison de la Chimie et Mediachimie sont partenaires de ce musée et participent à l’animation du secteur « chimie du soleil et photochimie ».

Mediachimie | L’Union des Industries Chimiques (UIC) tire la sonnette d’alarme

Date de publication : Mardi 31 Mai 2016
Rubrique(s) : Événements
@MSA / Fotolia

Pour les usines chimiques, le pétrole n’est pas seulement source d’énergie, c’est à 90 % une matière première. Les raffineries situées à proximité les alimentent en naphta, éthylène, propylène… qui arrivent par pipeline en flux tendus. Avec les blocages à répétition des raffineries et des dépôts pétroliers les approvisionnements sont menacés. Le 27 mai, près de 40 usines étaient à l’arrêt, soit 15 % des sites de chimie de base en France. « Le manque à gagner en termes de production est évalué à 15 millions d’euros par jour. Pour la chimie, la facture s’élève déjà au minimum à 100 millions d’euros » estime Jean Pelin, directeur général de l’UIC.

Les groupes les plus fragiles risquent gros, comme le fabricant de PVC Kem One qui s’est engagé sur de gros investissements pour retrouver de la rentabilité. Total est très touché : sur ses cinq raffineries, seule l’une produit en débit réduit, les autres sont paralysées. Dans l’hexagone, seules trois raffineries fonctionnent, appartenant à Exxon.

Si la chimie de base ne produit plus, la situation se complique en aval dans l’industrie plastique ou automobile. Les usines chimiques proposent de plus en plus pour leurs clients des produits sur mesure pour les bouteilles, l’électroménager, les carrosseries, les tableaux de bord, les plastiques d’usage… Tous les acteurs de la chaine sont très dépendants les uns des autres.

Selon l’UIC, alors que la chimie occupe le premier rang des secteurs industriels exportateurs et alors que l’activité repartait bien, ces pertes de production ne se rattraperont pas. Il faudra revoir à la baisse le chiffre prévu de hausse de 1,9 % en 2016.

Jean-Claude Bernier
28 mai 2016

NdlR : voir les contributions des présidents de l’UIC sur mediachimie.org
- Les défis d’avenir posés aux chimistes pour la protection de la santé et de l’environnement : le point de vue indutriel (Pascal Juery)
- Les entreprises de la chimie : des innovateurs au service de la lutte contre le changement climatique (Philippe Goebel)

Mediachimie | Un charbon très tendance

Date de publication : Lundi 23 Mai 2016
Rubrique(s) : Éditorial
Granulés et de comprimés de charbon actif

Alors que les grands opérateurs d’électricité veulent arrêter les centrales thermiques au charbon et que les États jurent de ne plus les subventionner, le charbon (1) s’ouvre à une nouvelle carrière. Il ne s’agit évidemment pas du même charbon, mais du charbon actif (2).

Le charbon actif est un carbone presque pur obtenu par carbonisation à haute température de 600 à 800 °C de produits végétaux, comme des coques de noix ou des bambous, et par, une seconde opération, pour ouvrir des pores par oxydation ménagée à la vapeur d’eau ou au CO2.

On trouve le charbon actif sous forme de poudre ou en grains, avec une propriété essentielle : la surface spécifique est très grande de 500 à 1500 m2 par gramme ! Cela lui donne un pouvoir d’absorption étonnant, largement utilisé pour la dépollution et la purification de l’eau (3). Les cartouches de certaines carafes en sont faites ; elles absorbent les ions clhorure Cl- et donnent un meilleur goût à l’eau potable (4).

On connaît aussi son utilisation en pharmacie (5) : le charbon médicinal est du charbon actif en granulés qui fait merveille contre les problèmes intestinaux, maux de ventre, ballonnements et diarrhée. C’est l’une des spécialités pharmaceutiques les plus anciennes (6). Mais aux États-Unis, et bientôt en France, on vante les mérites des cures au charbon. La « charcoal limonade » et les cocktails à la poudre noire font un malheur. Pour détoxifier l’organisme, nettoyer à fond les substances indésirables dans le sang et même éviter la gueule de bois après une soirée trop arrosée, les jus de fruits au charbon et les crèmes de légumes noircies sont très mode. Le pouvoir absorbant et son origine naturelle (7) font débarquer le charbon actif dans la cosmétique (8), il absorbe le sebum et impuretés de la peau. Le gommage au charbon est primeur chez les ados, les savons « charcoal » débarquent en France, préparez-vous en 2016 aux beautés charbonneuses !

Pr Jean-Claude Bernier
Mai 2016

Quelques ressources pour en savoir plus :

1) Charbon (le produit du jour de la SCF)
2) L’obtention de charbons actifs
3) L’eau, sa purification et les micropolluants
4) L’eau du robinet est–elle polluée ?
5) L’utilisation du charbon médicinal
6) Quelques spécialités pharmaceutiques centenaires
7) La nature pour inspirer le chimiste : substances naturelles, phytochimie et chimie médicinale
8) Chimie dermocosmétique et beauté
 


 

Mediachimie | J’ai failli voir une course de formule E

Date de publication : Mardi 03 Mai 2016
Rubrique(s) : Éditorial
Hôtel des Invalides

Pour une fois qu’une course automobile se déroulait au pied de la Maison de la Chimie, j’ai réagi trop tard. Quinze jours avant le 23 avril, la billetterie des 20 000 places était fermée ! Le circuit dessiné en plein Paris autour des Invalides fait un peu moins de 2 km avec quatorze virages et devait être parcouru 45 fois pour une course de 87 km.

C’est la première fois que la très sérieuse FIA (Fédération Internationale de l’Automobile) organisait à Paris une course automobile qui compte pour le championnat du monde de F E (avec E comme électrique). Elle a rassemblé 18 monoplaces électriques capables de tourner à 225 km/h et qui atteignent 100 km/h en moins de 3 secondes. Plusieurs jours avant, un bitume (1) provisoire avait recouvert les plaques d’égouts et les pavés, et des vibreurs avaient été placés dans les virages. L’an passé, les bolides étaient semblables et fabriqués par une entreprise française : Spark Racing Technology. Cette année, seuls les châssis en aluminium et fibres de carbone (2) de chez Spark étaient communs. Les carrosseries, très profilées en composites classiques (3) et carbone-carbone (4), étaient au choix des écuries. Les moteurs électriques (5) d’une puissance de 230 à 270 cv étaient majoritairement fabriqués par McLaren Applied Technologies mais les motopropulseurs qui peuvent délivrer 150 kW en mode course et 180 kW en cours de « Fan Boost » étaient d’origines diverses. Le pack de batteries performantes (6) capable de stocker de l’ordre de 30 kWh est encore insuffisant pour la totalité du parcours ; aussi, à mi-course, les pilotes changent de monture. Les pneus de 18 pouces sont spécifiques (7), c’est Michelin qui les fournit.

Quatre écuries principales sont en compétitions : deux françaises, Renault et DS, et Venturi (Monaco), Audi Sport (Allemagne). De jeunes coureurs parfois aux noms célèbres conduisent ces bolides. Le podium du grand prix de Paris est :

  • 1er - Lucas di Grassi sur Schaeffler Audi Sport
  • 2e - Jean-Éric Vergne sur DS Virgin Racing
  • 3e - Sébastien Buemi sur Renault

Toutes ces nouvelles voitures de course sont bourrées d’innovation grâce à la chimie (8) et soyons sûrs que nous les retrouverons d’ici quelques année sur nos véhicules électriques.

Pr Jean-Claude Bernier
Mai 2016

Quelques ressources pour en savoir plus :

1) Les infrastructures des transports : les apports de la chimie dans les projets d’avenir
2) Les alliages d’aluminium pour l’allègement des structures dans l’aéronautique et la carrosserie automobile
3) Les matériaux composites dans le sport
4) Les composites carbone/carbone
5) Le moteur électrique comparés aux moteur thermique : enjeux et contraintes
6) Stockage de l’électricité : élément clé pour le déploiement des énergies renouvelables et du véhicule électrique
7) Le pneumatique : innovation et haute technologie pour faire progresser la mobilité
8) L’industrie chimique au service de l’automobile
 

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