Cette application gratuite et intuitive, proposée par Merck, regroupe les propriétés atomiques, une visualisation de leur évolution dans la classification périodique ainsi qu’un bref résumé de l’histoire de la découverte de chaque élément.
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Eugène Caventou (1824-1912), président de l’Académie de médecine pour l’année 1997, dresse un portrait de Paul Schutzenberger (1829-1897). Il rappelle son origine alsacienne, ses qualités humaines et scientifiques. Il indique quelques travaux et mentionne quelques uns des postes et des fonctions occupés par Paul Schutzenberger.
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Source : Décès de M. Schutzenberger, Bulletin de l’Académie de médecine, Paris, A61, sér.3, t. 37 (1897), p. 796
Charles Coffignier dresse d’abord le portrait du savant en insistant sur quelques uns des travaux de Paul Schutzenberger (1829-1897) puis il parle des qualités pédagogiques du professeur qu’il a connu. Il indique aussi que Paul Schutzenberger était directeur de l’École municipale de physique et de chimie de la ville de Paris lors de sa création en 1882, de nos jours, c’est l’école supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI ParisTech) et qu’il a aussi écrit un traité de chimie générale en sept volumes. Pour terminer, Charles Coffignier rappelle que c’est Armand Gautier (1837-1920), un ami de Paul Schutzenberger, qui a prononcé quelques mots au cimetière du Montparnasse.
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Source : Paul Schutzenberger, La Science française, Paris n°131 (1897) p. 26
Cette courte biographie indique quelques uns des postes occupés par Paul Schutzenberger (1829-1897) ainsi que son appartenance comme membre aux Académies de médecine et de sciences. Il est précisé qu’il a écrit de nombreux mémoires sur les alcaloïdes végétaux ainsi que des ouvrages scientifiques comme «Des matières colorantes ».
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Cette Revue vient d’être fondée par Paul Schutzenberger (1829-1897) et le comité de rédaction demande à son ami Armand Gautier (1837-1920) d’écrire une notice. Paul Schutzenberger, né à Strasbourg, commence des études de médecine dans cette ville mais c’est la chimie qui l’attire. Après un passage à Paris auprès de Jean-François Persoz (1805-1868), il est nommé à l’École professionnelle de Mulhouse, passe quelques mois à Giessen (Hesse) auprès de Justus von Liebig (1803-1873), revient à Paris comme préparateur au Collège de France puis il devient directeur-adjoint au laboratoire de chimie des Hautes Études à la Sorbonne. Armand Gautier occupe le poste de sous-directeur de ce laboratoire en 1869, c’est là que commence leur amitié. Paul Schutzenberger participe à la défense de Paris durant la guerre franco-prussienne de 1870-1871. En 1876, le voilà professeur de chimie minérale au Collège de France et en 1882, il prend la direction de l’école municipale de physique et de chimie de la ville de Paris lors de sa création en 1882, de nos jours, c’est l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI ParisTech). Il est membre des Académie de médecine et de sciences. Armand Gautier souligne ensuite divers éléments de son œuvre. Il rappelle d’abord ses travaux en chimie appliquée sur les colorants puis ceux très nombreux dans le domaine de la chimie organique ainsi qu’en chimie minérale. Il découvre l’acide hydrosulfureux en 1869 qui a de nombreuses applications industrielles. Mais d’après Armand Gautier, ce sont les travaux sur les substances albuminoïdes qui placent Paul Schutzenberger au premier rang. Paul Schutzenberger a aussi écrit de nombreux ouvrages.
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Source : Paul Schutzenberger, Revue de physique et de chimie et de leurs applications industrielles, Paris A1, n°9 (1897), pp. 417-433
Cet article retrace la vie de Paul Schutzenberger (1829-1897). Ce chimiste a occupé différents postes et en particulier il a été directeur de l’école municipale de physique et de chimie de la ville de Paris lors de sa création en 1882, de nos jours, c’est l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI ParisTech). Il était aussi membre de l’Académie de médecine et de l’Académie des sciences. Ses travaux portaient sur la chimie organique et principalement sur les matières colorantes.
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Source : Nécrologie : le professeur Schutzenberger, La science illustrée, Paris n° 504 (1897), pp. 127-128, disponible sur le site gallica.bnf.fr
Ariane, directeur de l’environnement pour le groupe Oréal, témoigne de son parcours enrichissant lui ayant permis d’avoir plusieurs missions au sein de l’entreprise. Les sites, où qu’ils soient dans le monde, doivent mettre en œuvre les bonnes pratiques définies par le groupe afin de respecter l’environnement et parfois aussi être sources d’économies.
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