Marketing et Vente sont deux domaines différents et complémentaires, le marketing agit en amont de l’activité de vente. Une collaboration étroite existe entre ces deux activités.
Le marketing
Le marketing s’intéresse à l’identification et à la satisfaction du besoin des consommateurs qu’ils soient des particuliers ou des professionnels. Le marketing peut concerner des biens de consommation mais aussi des services. Quand il concerne le grand public, on parle de Marketing B to C (Business to Consumer). Quand il concerne d’autres entreprises il s’agit alors de marketing industriel ou B to B (Business to Business). Le marketing peut concerner le public via des prescripteurs, c’est le cas par exemple de la plupart des médicaments les prescripteurs étant le corps médical.
La stratégie
L’activité marketing s’exerce en cohérence totale avec la stratégie de l’entreprise : ses domaines d’application, ses moyens - notamment en termes de R&D -, sa couverture commerciale locale ou globale, ses objectifs moyens et long terme et sa stratégie financière.
La satisfaction du besoin du consommateur est analysée à partir d’études de marché, il en résultera principalement deux conclusions :
- l’identification d’un besoin non encore satisfait, ce qui conduira à engager une démarche d'innovation ;
- la nécessité d’améliorer l’existant (coût, qualité, mode d’action différent, sécurité d’usage…).
Définir et mener les projets
À partir de cette analyse, le marketing a un rôle clé dans la définition des projets de recherche, puis dans l’évolution des résultats et le suivi ultérieur des étapes de développement, de procédés de production et de commercialisation.
Le marketing s’intéresse aussi aux produits existants afin de veiller au maintien de l’intérêt des consommateurs pour les produits de l’entreprise et si nécessaire prendre les mesures permettant de restaurer cet intérêt.
Une double compétence
Dans le domaine des activités reposant sur les sciences, la double compétence scientifique-marketing est indispensable, la culture économique étant aussi un élément clé de l’activité.
La vente
Les ventes représentent la principale source de revenus des entreprises, elles sont directement dépendantes d’une part de la qualité, du volume de production et de la capacité de l’entreprise à satisfaire ses clients dans les délais et d’autre part de l’organisation et de la qualité des équipes. Il n’y a pas de modèle d’organisation type, celle-ci doit être construite, et évoluer si nécessaire, en fonction de la nature des produits, de l’évolution des marchés et de la réglementation.
Réactivité, engagement et concurrence
La capacité à remettre en cause rapidement son organisation en fonction d’éléments impactants permet parfois de faire la différence par rapport à la concurrence. Maintenir le portefeuille client existant et prospecter pour le faire progresser sont les obsessions permanentes des équipes commerciales. A l’exception de très rares situations de monopole, la concurrence est présente au quotidien, et l’activité nécessite de s’appuyer sur des personnes très engagées, on parle souvent de « force de vente ».
Le marché est mondial
En matière d’échanges commerciaux, il faut bien entendu raisonner avec une ouverture vers l’international.
La vente est un métier très encadré au plan réglementaire dans les pratiques et les comportements, notamment pour ce qui concerne le droit de la concurrence. Il existe d’ailleurs en France une autorité de la concurrence. Les règles sont identiques au plan international.
Une double compétence
Comme pour le marketing, dans le domaine des activités reposant sur les sciences, la double compétence scientifique-vente est indispensable car la culture économique est aussi un élément clé de l’activité.
Le marketing et les ventes ont un rôle partagé pour faire vivre les produits, notamment en matière de communication.
Tous les emplois sont ouverts aussi bien aux hommes qu'aux femmes.
Les matériaux, qu’ils soient œuvres d’artiste, fruits de la haute technologie, ou conçus pour notre confort, notre bien-être ou notre plaisir, contribuent à notre qualité de vie.
La contribution des chimistes
Les chimistes, transformateurs de la matière, apportent leur expertise à la conception, l’élaboration, la formulation et la production de matériaux aux caractéristiques chimiques et physiques adaptées à des propriétés d’usage de plus en plus complexes et exigeantes.
Ils travaillent en collaboration avec les spécialistes des domaines d’application concernés :
- dans les laboratoires de recherche publics ;
- au sein des entreprises chimiques ;
- au sein des sociétés des secteurs des matériaux pour l’électronique, des produits high-tech, des textiles techniques, de l’automobile, de l’aéronautique, des transports ferroviaires, de la construction, du bâtiment, des verres minéraux…
Quelques exemples d’applications dans la vie courante
Citons quelques exemples d’applications de la vie courante où les chimistes apportent leur contribution.
Les matériaux composites et les textiles techniques permettent de pratiquer un sport dans des conditions de plus en plus confortables et améliorent la performance sportive et la sécurité.
Démonter un téléphone portable permettrait de découvrir que chaque pièce est faite dans un polymère ou un métal ou un matériau composite différent, dont on attend pour chacune une propriété bien déterminée.
Les rayons des magasins de bricolage regorgent de produits à usage ciblé : colles à bois, colle pour verre et métal, colles pour maquettes en polystyrène, mastic-colles, peintures sans solvant…
L’analyse physicochimique des pigments, l’identification des molécules constituant les huiles et vernis permettent d’identifier une œuvre d’art, de la restaurer en respectant les choix de son créateur, de découvrir des « faux » ou copies et de proposer aux artistes peintres, de nouveaux colorants et liants.
Pour en savoir plus
Pour mieux connaître les métiers associés, consulter les fonctions et domaines d’activité suivants :
- Recherche et développement
- Procédés
- Production et maintenance
- Réglementation : assurance qualité et affaires réglementaires
- Analyse laboratoire et contrôle qualité
- Qualité, hygiène, sécurité et environnement
- Enseignement
Pour répondre à la demande des consommateurs et leur faire connaître les produits réalisés, les chimistes vont être impliqués aussi dans les fonctions et domaines d’activité suivants :
Protection des personnes au sein et en dehors de l’entreprise, protection des installations, risques de pollution de l’air et de l’eau, nuisances sonores autant de thèmes qui imposent à l’entreprise de mettre en place une politique de Qualité, Hygiène, Sécurité, Environnement (QHSE) irréprochable.
La réglementation est très précise et très complète en matière de QHSE et en particulier pour toutes les entreprises qui manipulent des produits chimiques et biologiques pour lesquels il existe une législation spécifique. Toutefois, le risque zéro n’existe pas et, au-delà de la législation, chaque entreprise doit prendre en compte ses propres spécificités et les intégrer dans ses plans de prévention.
Anticiper
Anticipation est le maître mot : tout risque potentiel doit être identifié, analysé, communiqué, les équipements doivent être fiabilisés et des mesures de protection spécifiques doivent être mises en œuvre. Les comportements à risque doivent être également identifiés. L’équipe QHSE est en soutien à la mise en place de solutions techniques ou organisationnelles.
Identifier les risques
Les risques potentiels peuvent être liés aux matières premières, aux produits fabriqués, aux effluents solides liquides et gazeux, aux équipements, aux conditions de travail… Pour chacun de ces risques, des normes et des réglementations existent. Les équipes QHSE ont pour mission de contrôler en permanence le niveau des risques, de faire appliquer strictement les règles et de faire évoluer celles-ci avec l’évolution de la réglementation.
Le rôle de la QHSE est à la fois préventive et curative et, en cas de dysfonctionnement ou d’accident, les équipes doivent intervenir rapidement pour protéger les personnes et mettre en œuvre les moyens d’intervention nécessaires.
Savoir fédérer en interne pour la sécurité
Pour être parfaitement efficace, une politique QHSE doit obtenir l’adhésion de tous avec un fort soutien de la Direction générale de l’entreprise. La communication vers les équipes et la formation de l’ensemble du personnel font partie des missions. On parle souvent de culture sécurité au sein d’une entreprise.
Les personnels des équipes QHSE doivent faire preuve de pédagogie, de qualités de négociation, de sang-froid, d’organisation et de réactivité. Une très bonne connaissance des activités et des métiers de l’entreprise est indispensable. La QHSE est un maillon important dans la politique de développement durable d’une entreprise.
Communication externe et concertation
En externe, l’équipe QHSE travaille en concertation avec les organismes tels que la DRIRE (Direction régionale de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement), les pompiers, la sécurité civile, la gendarmerie, la médecine et l’inspection du travail…
Tous les emplois sont ouverts aussi bien aux hommes qu'aux femmes.
L’analyse physico-chimique de laboratoire est une activité essentielle à la caractérisation, la mesure de la pureté ou le suivi des réactions chimiques mises en œuvre en R&D, en procédés ou en production.
Des techniques complémentaires
L’analyse physico-chimique repose sur un échantillonnage d’appareils souvent très complexes, chaque type d’appareil représentant une technique d’analyse permettant d’identifier une ou plusieurs caractéristiques physico-chimiques des molécules.
Les analystes mettent en œuvre une ou plusieurs techniques pour faire en quelque sorte une photographie précise de la molécule ou pour mesurer son degré de pureté. En effet, les techniques permettent de travailler aussi sur des mélanges afin d’en préciser la composition.
Contrôle qualité et conformité
Le contrôle qualité repose sur la mise en œuvre d’une combinaison de techniques analytiques qui permettront de vérifier la conformité d’un produit par rapport à des spécifications ou des exigences préétablies. C’est le cas pour tous les produits qui doivent être commercialisés (à titre d’exemple dans le domaine pharmaceutique, les matières actives destinées à devenir des médicaments devront atteindre un très haut niveau de pureté pour suivre leur chemin vers la formulation, cette pureté minimum étant définie dans le dossier d’homologation du produit).
Les compétences et qualités requises
Les analystes sont en général spécialisés dans une ou plusieurs techniques apparentées. Ils doivent faire preuve d’une grande capacité d’analyse, de rigueur et avoir le sens des délais. Les analystes sont les yeux des chimistes avec lesquels il travaille en étroite collaboration.
L’analyse et le contrôle qualité nécessitent des niveaux de formation allant essentiellement des BAC+2 à BAC+5.
Tous les emplois sont ouverts aussi bien aux hommes qu'aux femmes.
Logistique et achats sont deux domaines différents et complémentaires. L’entreprise est un lieu où stationnent, circulent et se croisent en permanence des produits et des matériels, ce qui implique une logistique, car tout manque de coordination a potentiellement un impact sur les coûts de production. Le service achat quant à lui doit assurer l'approvisionnement.
La logistique
En production, la circulation de matières premières, produits finis et produits intermédiaires, peut paraître anarchique pour un observateur extérieur. Elle est en fait réglée comme une horloge, afin d’éviter tout encombrement ou saturation des lieux de stockage. Il faut en effet gérer à temps tous les flux de produits entrant et sortant au niveau des chaînes de production pour fournir les clients extérieurs dans les délais prévus.
Ce qui vaut pour la production vaut aussi pour tous les autres secteurs de l’entreprise. La gestion optimisée des stocks sur le site est de la responsabilité de la logistique.
Les compétences requises
Elle nécessite des compétences en planification, gestion, management des hommes, sécurité… La planification des mouvements nécessite un travail de coordination étroit avec les équipes de production mais aussi avec les équipes achats pour optimiser les volumes et les durées de stockage.
Les achats et leurs acteurs
Les achats dans une entreprise sont en général entre les mains de spécialistes de la transaction commerciale que sont les acheteurs. Le service des achats a la responsabilité de sécuriser les sources d’approvisionnement, dans des conditions de prix, de qualité, de volume et de délais définis. Lorsque le marché est tendu, les acheteurs identifient en général plusieurs sources potentielles d’approvisionnement. Les prix sont négociés par les équipes achat.
Les achats nécessitent des compétences en négociation, économie, communication, organisation, maîtrise des langues étrangères… L’achat en gros volume pour des matières premières chimiques se fait sur le marché international. L’impact de la fonction achat sur le bilan économique de l’entreprise est important.
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La Recherche et le Développement constituent un élément essentiel de la vitalité et de la santé d’une entreprise, ou d’un pays, à travers l’efficacité de ses laboratoires de R&D publics et privés. Un indicateur fréquemment utilisé pour mesurer l’efficacité de la R&D est le nombre de brevets déposés. Bien que régulièrement associés sous le vocable R&D, ces deux activités que sont la recherche d’une part et le développement d’autre part correspondent à deux étapes distinctes du processus d’innovation.
Les résultats de la recherche ouvrent la porte au développement
La recherche correspond à la phase la plus amont et consiste en la préparation et l’étude de nouvelles molécules, de nouveaux produits, de nouvelles propriétés, de nouvelles applications.
Sur la base de critères objectifs mesurables, un produit sera sélectionné et soumis en développement à un certain nombre d’études (par exemple : toxicité, stabilité, confirmation d’activité, caractéristiques physico-chimiques complètes…). Ces études si elles s’avèrent positives permettront de donner le feu vert pour les études de procédés. L’ensemble des éléments étudiés permettrons, lorsque nécessaire, de construire un dossier d’enregistrement. Les principes du développement durable sont appliqués à tous les processus R&D.
L’innovation pour répondre à de nouveaux besoins
Dans une entreprise, les objectifs de recherche sont généralement décidés par la Direction de la recherche en collaboration avec les équipes du marketing qui ont une vision précise des besoins du marché.
Les laboratoires publics travaillent sur des projets de recherche fondamentale mais aussi souvent sur de la recherche appliquée en collaboration avec des entreprises. Ces collaborations entre recherche publique et recherche privée se développent et sont souvent riches en résultats.
Les entreprises qui travaillent dans des domaines très concurrentiels et très complexes comme l’industrie pharmaceutique peuvent dépenser jusqu’à 20% de leur chiffre d’affaire en frais de R&D. A titre d’exemple, les coûts pour mettre sur le marché un nouveau médicament s’élèvent en moyenne actuellement à 1 milliard d’euros.
Des métiers riches pour des activités variées
Les activités de R&D nécessitent une mise à jour permanente des connaissances. Les métiers de la R&D impliquent une forte capacité à travailler en équipe, de la créativité, de la rigueur, une grande capacité d’analyse et une forte capacité à se remettre en cause. Les compétences acquises en R&D sont recherchées au sein des entreprises, ce qui permet d’évoluer vers d’autres métiers, en R&D, en procédés, en production, en commercial…
La R&D fait appel à de nombreuses spécialités scientifiques en chimie, biochimie, biologie, biotechnologie, physique, informatique, médecine… Les équipes de R&D font principalement appel à des scientifiques dont la formation va de BAC +2 à BAC + 8.
Ces métiers accueillent aussi bien les femmes que les hommes.
Dans l’enchaînement qui va de la R&D vers la production industrielle, les procédés représentent la phase intermédiaire qui permet de passer de l’échelle du laboratoire, à la réalisation à l’échelle industrielle.
Études de procédés
Les études de procédés permettent :
- de définir la voie d’accès qui permettra l’industrialisation : soit conserver la voie d’accès proposée initialement par la recherche et la transposer à grande échelle, soit modifier tout ou partie de cette voie d’accès pour des raisons de faisabilité, de qualité, de coût, de sécurité, de maîtrise des effluents, de respect des contraintes règlementaires… Le traitement et/ou le recyclage des effluents font partie des paramètres à choisir ;
- d’étudier tous les paramètres thermodynamiques et cinétiques des réactions, conduire des études de risque ;
- d’étudier, de définir et de modéliser l’appareillage et l’équipement qui seront utilisés en production, d’en définir les paramètres économiques sur la base des objectifs de production.
Complémentarité des compétences
De plus en plus, les appareils pilotes qui étaient largement utilisés dans les installations de procédés, et qui représentaient la future installation industrielle à petite échelle font place à des calculs de modélisation par informatique. Ainsi cohabitent des spécialistes de la chimie, du génie chimique, de la chimie analytique, de la régulation et de l’automatisation, de l’environnement, des études de coût et de la production industrielle… De la qualité de ces études de procédés dépend en grande partie le succès industriel du produit.
Travailler en équipe
Les équipes de procédés travaillent en très étroite collaboration avec leurs collègues de la R&D et de ceux du monde industriel. Ces mondes qui cohabitent permettent des évolutions de métiers aisées, le plus souvent de la recherche vers les procédés et des procédés vers la production.
Les métiers des procédés impliquent une forte capacité à travailler en équipe, de la méthode et une excellente connaissance du monde industriel avec une forte « orientation résultats ».
Les Procédés font appel à des spécialités variées et emploient des profils proches de la R&D en terme de niveaux de formation : essentiellement des BAC +2 et BAC +5 mais aussi quelques BAC Pro et des BAC+8.
Tous les emplois sont ouverts aussi bien aux hommes qu'aux femmes.
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Source : La chimie et le sport, coordonné par Minh-Thu Dinh-Audouin, Rose Agnès Jacquesy, Danièle Olivier et Paul Rigny, EDP Sciences, 2011, isbn : 978-2-7598-0596-9, p. 99
La chimie joue un rôle majeur dans le progrès et l’économie en étant présente à tous niveaux dans notre vie quotidienne. La plupart des objets que nous utilisons n’existeraient pas sans l’apport créatif des chimistes.
Vous êtes curieux, rigoureux et créatif : devenez chimiste. Vous serez récompensés par le plaisir qu’apportent aussi bien une découverte, que le cheminement qui conduit à l’élaboration finale d’un produit.
La palette des applications permet au chimiste de choisir le secteur d’activité dans lequel il désire apporter son concours.
Ainsi les chimistes peuvent travailler aussi bien dans des entreprises chimiques traditionnellement classées en grands secteurs tels que la chimie de base, la chimie fine et la chimie de spécialités mais aussi travailler dans de nombreux autres secteurs industriels qui ont besoin de l’expertise des chimistes.
Chimie de base et chimie fine sont indispensables pour créer les grands produits chimiques intermédiaires nécessaires aux autres secteurs. La chimie fine crée par exemple les principes actifs des médicaments nécessaires à l’industrie pharmaceutique. La chimie de spécialités crée des produits directement utilisés par les consommateurs.
Les secteurs industriels liés à l’énergie, l’économie des ressources, l’agroalimentaire, l’environnement… embauchent aussi les chimistes dont ils ont besoin. Pour avoir une vue exhaustive des secteurs d’activité, consulter la ressource « Où travaillent les chimistes ».
Les chimistes auront, avec une préoccupation de développement durable permanente, un rôle majeur d’expertise et d’innovation à apporter pour répondre aux grands défis que sont la gestion des matières premières, l’insuffisance alimentaire, la santé, les matériaux nouveaux, le traitement et le recyclage des déchets, l’accès à l’eau, l’énergie dont les énergies renouvelables, l’environnement et le réchauffement climatique. Ce travail se fait en interaction étroite avec les autres sciences telles que la physique, la biologie, les biotechnologies…
Tous les niveaux de diplôme sont concernés du CAP à la thèse de doctorat et de nombreuses formations sont proposées dans le cadre de l’alternance. Une fois dans l’entreprise, la formation tout au long de la vie permet des évolutions variées en fonction des capacités et des ambitions de chacun.
Ouverte à tous, la chimie accueille actuellement environ 45% de filles et 55 % de garçons dans tous les métiers et à tous les niveaux de responsabilité.