Ce compte-rendu de visite donne un aperçu sur la fabrication de bougies et de savons au début du XXe siècle. Les matières premières sont des graisses qui sont des esters de l’acide stéarique et de l’acide oléique. Elles sont hydrolysées par un traitement à l’ébullition dans une solution d’acide sulfurique. Puis les acides libérés sont neutralisés en autoclave avec de l’eau et du lait de chaux. Les produits obtenus sont séparés. Les sels de calcium (savons) sont traités par l’acide sulfurique et on obtient un mélange d’acide stéarique et d’acide oléique. Ils sont séparés. L’acide stéarique sert à fabriquer des bougies. L’acide oléique sert à la préparation des savons. L’autre produit, la glycérine, est livré à des entreprises spécialisées.
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Source : Visites d’usines : la stéarinerie de Clichy, BUP n°47 (1911), p. 32-34
Cette application gratuite et intuitive, proposée par Merck, regroupe les propriétés atomiques, une visualisation de leur évolution dans la classification périodique ainsi qu’un bref résumé de l’histoire de la découverte de chaque élément.
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Eugène Caventou (1824-1912), président de l’Académie de médecine pour l’année 1997, dresse un portrait de Paul Schutzenberger (1829-1897). Il rappelle son origine alsacienne, ses qualités humaines et scientifiques. Il indique quelques travaux et mentionne quelques uns des postes et des fonctions occupés par Paul Schutzenberger.
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Source : Décès de M. Schutzenberger, Bulletin de l’Académie de médecine, Paris, A61, sér.3, t. 37 (1897), p. 796
Charles Coffignier dresse d’abord le portrait du savant en insistant sur quelques uns des travaux de Paul Schutzenberger (1829-1897) puis il parle des qualités pédagogiques du professeur qu’il a connu. Il indique aussi que Paul Schutzenberger était directeur de l’École municipale de physique et de chimie de la ville de Paris lors de sa création en 1882, de nos jours, c’est l’école supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI ParisTech) et qu’il a aussi écrit un traité de chimie générale en sept volumes. Pour terminer, Charles Coffignier rappelle que c’est Armand Gautier (1837-1920), un ami de Paul Schutzenberger, qui a prononcé quelques mots au cimetière du Montparnasse.
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Source : Paul Schutzenberger, La Science française, Paris n°131 (1897) p. 26
Cette courte biographie indique quelques uns des postes occupés par Paul Schutzenberger (1829-1897) ainsi que son appartenance comme membre aux Académies de médecine et de sciences. Il est précisé qu’il a écrit de nombreux mémoires sur les alcaloïdes végétaux ainsi que des ouvrages scientifiques comme «Des matières colorantes ».
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Cet article retrace la vie de Paul Schutzenberger (1829-1897). Ce chimiste a occupé différents postes et en particulier il a été directeur de l’école municipale de physique et de chimie de la ville de Paris lors de sa création en 1882, de nos jours, c’est l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI ParisTech). Il était aussi membre de l’Académie de médecine et de l’Académie des sciences. Ses travaux portaient sur la chimie organique et principalement sur les matières colorantes.
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Source : Nécrologie : le professeur Schutzenberger, La science illustrée, Paris n° 504 (1897), pp. 127-128, disponible sur le site gallica.bnf.fr
Ariane, directeur de l’environnement pour le groupe Oréal, témoigne de son parcours enrichissant lui ayant permis d’avoir plusieurs missions au sein de l’entreprise. Les sites, où qu’ils soient dans le monde, doivent mettre en œuvre les bonnes pratiques définies par le groupe afin de respecter l’environnement et parfois aussi être sources d’économies.
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